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Planète Robots numéro 30 – La robotique est dans le pré

Planète Robots numéro 30 – La robotique est dans le pré

Retrouvez le dernier numéro de votre magazine de robotique chez votre libraire ! Envie d’un petit aperçu ? L’édito ainsi que quelques extraits de ce numéro dans la suite de cet article.

Bonne lecture !

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Edito

Le robot est un outil, pas un remplaçant… Je le répète à qui veut bien l’entendre car le sujet n’est pas des plus clairs : en effet, à terme, le robot va se charger des tâches ingrates et répétitives. Certains devront donc se former pour s’adapter, occuper d’autres postes ou travailler en collaboration avec des robots. Et c’est aujourd’hui qu’il faut réfléchir à la société de demain, celle où ils prendront une place prépondérante dans notre quotidien — que ce soit à domicile, pendant nos loisirs ou durant notre activité professionnelle. Le travail effectué par Me Alain Bensoussan dans nos pages se révèle à cet égard inestimable. Mais il faut aller encore plus loin et proposer aux hommes politiques de se pencher sur la question…

Les robots œuvreront en entreprise, parfois en collaboration avec les êtres humains ; ils apporteront de la productivité par leur travail. Les entreprises pourraient même se mettre à verser des cotisations sociales pour cette activité — ce ne serait pas si absurde —, non pour leur retraite ou leur assurance chômage, mais pour les nôtres… Il est tout à fait imaginable que les robots finissent par payer ces prélèvements sur la valeur ajoutée, tout en demeurant rentables.
Et comme ils prennent de plus en plus de place dans l’industrie, leurs cotisations pourraient de plus couvrir en partie (voire complètement) les cotisations sociales des travailleurs humains. Cela peut se faire de manière indolore en les transférant simplement des employés vers les robots, suivant l’évolution de l’équipement.

Finalement, ces prestations n’étant plus dues par les salariés, ces derniers coûteraient beaucoup moins cher à leurs employeurs, qui embaucheraient plus de personnel et augmenteraient les salaires. Les salariés pourraient ainsi voir croître leur pouvoir d’achat et donc consommer les produits créés par les entreprises…

Ce n’est qu’une piste de réflexion… Elle ne prend pas en compte la mondialisation des marchés. Car effectivement, les entreprises se trouveraient en concurrence avec celles d’autres pays, qui n’emploieraient pas ces méthodes. Il faudrait alors que se crée une normalisation à l’échelle de la planète. Refléchissons-y : il y a assurément de nouvelles voies à explorer !

Aperçu du numéro

 

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arnlen

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