UMA lance l’intelligence robotique made in Europe. À l’heure où la robotique devient l’un des piliers de la prochaine révolution économique et industrielle, UMA (Universal Mechanical Assistant) voit le jour. Avec une ambition claire : bâtir une robotique d’excellence aux côtés des meilleurs acteurs mondiaux.
Le quatuor fondateur réunit des pionniers de l’IA et de la robotique : Rémi Cadène (CEO, 33 ans, ex-Tesla, co-fondateur de LeRobot chez Hugging Face), Pierre Sermanet (Chief Science Officer, 44 ans, ex-Google Deepmind), Robert Knight (Chief Robot Officer, 49 ans, collaborateur de Nvidia, Maxon Motor et concepteur du robot SO-100 open source) et Simon Alibert (CTO, 34 ans, co-fondateur de LeRobot chez Hugging Face).
Cette ambition s’inscrit dans une dynamique de croissance exceptionnelle. Le marché mondial des robots humanoïdes est estimé à 240 milliards de dollars en 2035 et devrait atteindre 5 trillions de dollars d’ici 2050.
UMA entend jouer un rôle clé dans cette nouvelle ère industrielle. Et sociétale. Son identité, résolument internationale, s’appuie sur une conviction forte. La robotique est sur le point de franchir un bond technologique majeur. Qui permet d’adresser les défis les plus urgents de notre époque.
Une ambition née d’une expérience mondiale
Créée à Paris avec une vision globale, UMA est née de l’expérience d’ingénieurs et de chercheurs. Ayant tous évolué dans les plus grands laboratoires mondiaux. Avec l’ambition de bâtir en Europe l’intelligence robotique. Cette nouvelle étape fondamentale de l’IA.
Combinant expertise mondiale et ancrage privilégié sur le marché global, UMA est soutenue par des investisseurs de premier plan. Dont des fonds internationaux comme Greycroft, >commit ou Drysdale. Et des business angels largement reconnus tels qu’Olivier Pomel, Yann LeCun, Xavier Niel, Thomas Wolf, Soumith Chintala, ou encore Nicolas Rosberg.
Une nouvelle ère pour la robotique
Des entrepôts aux laboratoires, en passant par les hôpitaux ou les chaînes de production, la robotique s’impose déjà comme un pilier de la performance. Mais aussi de la résilience industrielle et de l’autonomie stratégique. Les projections montrent une croissance massive du nombre de robots en activité d’ici 2035. Porté par l’automatisation généralisée et l’essor des robots. Qu’ils soient mobiles, collaboratifs et humanoïdes.
UMA s’inscrit dans un marché en forte croissance, dominé en volume par les États-Unis (30 à 35 %) et l’Asie (plus de 40 %). L’Europe, avec plus de 20 %, se distingue surtout par sa spécialisation dans la robotique à forte valeur ajoutée : composants premium, ingénierie avancée, intégration et services spécialisés. C’est sur ce segment que UMA veut accélérer et devenir un acteur majeur.
« UMA est né à Paris pour construire les robots dont les industries européennes et mondiales ont besoin, en accord avec notre vision et notre savoir-faire technologique », déclare Rémi Cadene, CEO d’UMA.
Des robots conçus pour les défis du monde d’aujourd’hui
Dépendance aux importations, pression sur les chaînes logistiques, vieillissement de la population active, crise du recrutement… Partout dans le monde, les économies font face à des défis structurels qui menacent leur compétitivité. UMA développe des robots humanoïdes pour y répondre. Conçus pour assister les humains avec efficacité, ils interviendront dans tous les secteurs : industrie et logistique, commerces et services, éducation et recherche, santé et soins, assistance dans la vie quotidienne, mobilité et transports. Ils offriront également un soutien précieux dans les missions dangereuses ou difficiles.
En France comme ailleurs, les robots de UMA permettront de réduire la dépendance massive aux importations dans certains secteurs. Comme le textile largement produit à l’étranger. Ils aideront à absorber les tâches de logistiques. Lesquelles représentent en Europe entre 40 et 60 % des coûts d’exploitation. Avec un turnover annuel pouvant atteindre 60 %. Ils apporteront une réponse concrète au vieillissement démographique d’un continent où 21 % de la population a déjà plus de 65 ans (et 30 % en 2050). Enfin, ils contribuent à faire face à la pénurie mondiale d’infirmiers. Qui pourrait atteindre 13 millions de professionnels dans les années à venir.
Une robotique responsable et humaine
UMA défend une approche sobre et transparente : des robots légers, sécurisés, conformes aux normes de chaque État, pensés pour la réparabilité et la durabilité, avec une exigence constante de clarté dans les modèles et décisions. Son ambition : construire une robotique de confiance, au service des humains et des territoires.
Pour concrétiser cette vision, UMA développe deux modèles de robots complémentaires. Le premier est un robot mobile industriel équipé de deux bras, pensé pour automatiser les tâches encore largement manuelles dans les entrepôts, les centres logistiques et les environnements d’assemblage. Le second est un humanoïde capable d’évoluer dans des espaces conçus pour les humains et d’assister les travailleurs et toutes personnes dans des environnements mixtes. Ces solutions couvrent l’essentiel des besoins dans l’industrie et les services tout en garantissant une adoption progressive et maîtrisée de la robotique.
« La robotique a vocation à redonner du temps et de la capacité d’action à tous. C’est la philosophie fondamentale d’UMA », conclut Rémi Cadene, CEO d’UMA.



