Quelle cohabitation entre humains et robots ?

Le CNRS organise une série d’événements jusqu’en 2021, sur une question concernant la cohabitation entre humains et robots. Hors de son cadre de travail, un robot n’est pas capable de cohabiter de façon autonome et expressive avec son environnement. Il n’est pas encore capable d’interactions autonomes avec des personnes qui l’entourent.

Les recherches dans le but de rendre nos robots plus empathiques ne font que commencer. Le travail qui attend les chercheurs, ingénieurs est énorme afin d’atteindre cet objectif. Quelle cohabitation entre humains et robots, comment vont-ils évoluer pour vivre avec nous, les humains ?

Les robots servant à accompagner des personnes malades, âgées ou en souffrance sont aussi en développement et ont déjà des résultats.

Quelles sont les métamorphoses que va subir notre société en acceptant beaucoup plus les robots parmi nous ? En leur donnant des droits, en leur faisant réaliser des tâches toujours plus humaines ?

« Imaginons que, demain, le budget de l’aide à la personne augmente de 100 % et que l’on crée assez d’emplois pour combler la demande. Aura-t-on besoin de nouveaux robots dans ce secteur d’activité ? Le problème n’est donc pas les robots en tant que tels, mais les compétences que nous choisirons de leur déléguer ou au contraire, de leur interdire. Ces décisions sont de nature politique et économique. Elles conditionneront les interactions humain-robot et définiront le type de société dans laquelle nous souhaitons vivre. » Nicolas Spatola du Laboratoire de psychologie sociale et cognitive.

Les questions ne font que commencer à se poser : Quelle cohabitation entre humains et robots ? Quelles sont les nouvelles règles que nous allons devoir mettre en place ? Si vous avez des questions, vous pouvez utiliser le hashtag #AskCNRS pour interpeller les scientifiques.

Document source :

https://lejournal.cnrs.fr/articles/sommes-nous-prets-a-cohabiter-avec-les-robots

https://carnetsdescience-larevue.fr/

Un futur avec des équipements électroniques empathiques grâce à l’I.A.